Le Système désigne l’ensemble des institutions publiques et privées par le truchement desquelles l’oligarchie mondialiste impose sa domination en France et plus généralement en Occident.
L’oligarchie, la super classe mondiale, les oligarques, le cartel de Davos sont ceux qui entendent gouverner contre la volonté des peuples européens et qui ont pris le pouvoir en Occident après la chute du communisme pour imposer leur projet mondialiste.
La Nouvelle Gauche, la gauche bobo, la gauche Macron désignent la gauche qui a pris le pouvoir avec Emmanuel Macron. C’est une gauche libertaire, égalitariste, mondialiste, immigrationniste et ralliée ouvertement à l’ultra-libéralisme.
La France d’en haut, les nouveaux privilégiés, les bullocrates sont des termes qui renvoient à tous ceux qui vivent dans une bulle protectrice, coupés du reste de la population.
Les libéraux mondialistes, les ultra-libéraux, les libre-échangistes, les libertariens, (libéraux/libertaires) désignent les libéraux extrémistes qui composent désormais la Nouvelle Gauche et qui prétendent tout déréguler.
Les mondialistes, les cosmopolites, les immigrationnistes constituent une composante essentielle de la Nouvelle Gauche qui renouvelle l’ancien internationalisme et conduit à détruire toute forme d’identité.
Les grandes firmes mondialisées, les banksters désignent les institutions financières internationales et les grandes entreprises mondialisées qui entendent imposer leurs intérêts aux peuples et aux Etats et visent à la marchandisation du monde et de l’homme lui-même.
Les atlantistes sont ceux qui veulent une Europe, non pas alliée, mais vassale des Etats-Unis.
Les lobbies, les séparatistes, les ligues de vertu antiracistes désignent les groupes communautaristes minoritaires qui imposent leur idéologie ou leurs intérêts à la majorité de la population.
L’extrême-gauche, les altermondialistes, les sansfrontièristes sont autant d’organisations qui servent de nervis au Système, voire de service action à l’oligarchie.
Les politiciens ne se préoccupent que de leur élection, par opposition aux politiques qui pratiquent la grande politique et se soucient donc du bien commun.
Les passéistes, les souverainistes nostalgiques sont ceux qui refusent de voir le monde tel qu’il est. Dans un monde désormais multipolaire, marqué par le retour sur la scène mondiale des grandes aires civilisationnelles, qui rassemblent chacune des centaines de millions, sinon des milliards, d’hommes et de femmes, la puissance en Europe ne peut plus être seulement nationale, elle doit aussi devenir continentale. Le souverainisme n’a désormais de sens qu’au plan européen comme moyen du retour de la puissance, de l’indépendance et de la survie de tous les Européens.
Les islamistes, le salafisme, le wahabisme sont autant de formes de l’islam qui contredisent les valeurs et l’identité et les valeurs européennes.
Les médias de propagande représentent les médias grand public, qui, devenus la propriété des grosses sociétés du CAC40, n’informent plus mais diffusent l’idéologie du Système et de la Nouvelle Gauche, n’hésitant pas à censurer tous ceux qui la contestent.
Le politiquement correct, la pensée unique, la bien-pensance, la doxa dominante, l’idéologie dominante sont autant de mots pour désigner l’idéologie ultra-libérale, libertaire, égalitariste, mondialiste et cosmopolite de la Nouvelle Gauche au pouvoir. Cette idéologie est présentée sous le vocable trompeur de valeurs, alors qu’elle est une démarche totalitaire qui mène ceux qui la contestent à être traités d’extrémistes.
L’individualisme, l’idéologie des droits de l’homme représentent l’idéologie du Système puisque l’ultra-libéralisme repose sur un individualisme méthodologique radical et parce que le culte de droits de l’homme sert à déconstruire la citoyenneté et la souveraineté des Etats, les étrangers étant réputés avoir les mêmes droits que les citoyens, voire des droits supérieurs.
La repentance, la haine de soi est un mode de culpabilisation consistant à imputer aux enfants les « fautes » de leurs parents. La repentance cache une haine de l’identité européenne.
La déconstruction est un concept caractéristique du nihilisme contemporain. Elle tire son origine de l’attitude de la gauche qui, ralliée à l’ultra-libéralisme, a abandonné le social pour se livrer à la déconstruction transgressive de nos valeurs et promouvoir l’indifférenciation radicale de la société, donc sa destruction.
Le bougisme désigne la prétendue qualité de l’homme aux semelles de vent vantée par le Système pour promouvoir le déracinement.
La culture de mort véhiculée par le Système aux dépens des seuls Européens prône l’avortement de masse. Présentée comme un droit des femmes, elle conduit au refus de promouvoir la famille et la démographie européennes.
Le chaos mondialiste est une technique de gouvernement utilisée par l’oligarchie, l’idée étant que le chaos justifie in fine la tyrannie pour tenter d’y remédier. Ainsi en est-il par exemple du chaos migratoire qui ouvre la voie à l’islamisme, lequel sert de prétexte à la réduction des libertés publiques au motif de « lutter contre le terrorisme ».
L’État Big Mother, parent de Big Brother, promeut la déresponsabilisation des individus et un puritanisme hygiéniste à caractère totalitaire.
Le gouvernement des juges désigne le prétendu « état de droit » qui assure la domination des juges inamovibles sur les législateurs élus. Il s’agit en réalité d’une nouvelle forme de théocratie qui fait des juges les gardiens du politiquement correct.
La christianophobie, l’occidentophobie, la xénophilie désignent la propension du Système à nier, voire à combattre, notre identité et notamment les racines chrétiennes de notre civilisation.
L’immigration de peuplement, le grand remplacement, l’industrie migratoire sont autant de formules pour stigmatiser la politique conduite par la super classe mondiale visant à remplacer la population européenne et les travailleurs européens sur leur propre terre. Le caractère catastrophique de cette immigration de peuplement résulte de son caractère massif qui rend illusoire tout processus d’assimilation. En outre l’immigration de peuplement apporte l’islamisation. L’immigration de masse est encouragée par tout un réseau d’intérêts qui constitue une véritable industrie.
L’islamisation désigne le processus d’implantation de la civilisation musulmane sur notre sol.
Le fiscalisme est caractéristique de l’Etat providence qui conduit la France à subir le double inconvénient d’un système social de redistribution socialiste et d’une déconstruction ultra-libérale de la société. Dès lors les classes moyennes supportent l’essentiel de la charge fiscale pour financer les transferts sociaux dont elles ne bénéficient pas.
L’écologisme punitif stigmatise une forme d’idéologie écologiste qui sert de prétexte à la réduction constante des libertés des Européens.
Le populisme est davantage un symptôme qu’un remède. En se focalisant sur les classes moyennes et populaires, le populisme néglige le fait que le renouveau de notre civilisation doit aussi impliquer les élites dirigeantes
L’opposition de sa Majesté, l’opposition bidon incarnée principalement par La France insoumise et promue par les médias de propagande, elle ne conteste pas véritablement le Système, en particulier pas l’immigrationnisme.
L’Europe de Bruxelles, l’européanisme désignent l’appareil européen actuel qui, loin de construire l’Europe, pratique en réalité la déconstruction mondialiste et post-démocratique de l’Europe, pour la transformer en un grand marché ouvert.
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