La France est soumise à un Système oligarchique qui détruit la démocratie

L’état du pays

Aujourd’hui en France, le pouvoir ne vient plus du peuple, il a été confisqué par un Système qui impose à tous son idéologie politiquement correcte attentatoire à notre identité et à nos valeurs. Véhiculée par des médias omnipotents, voulue par le grand patronat mondialisé, défendue par le pouvoir judiciaire, mise en œuvre par l’administration et les eurocrates de Bruxelles, cette pensée unique est portée par une oligarchie toute puissante. Dès lors, la France n’est plus vraiment une démocratie ni les Français des citoyens libres. Sur chaque sujet important, il n’y a plus qu’une opinion autorisée, celle de l’oligarchie qui désigne la voie à suivre, au mépris des institutions et des principes de la République.

Une pensée unique qui donne la ligne

Pour nombre de nos compatriotes, les élections semblent désormais presque inutiles puisque, quels que soient les candidats qui sont choisis, c’est à peu près la même politique qui est suivie. Et, de fait, c’est dans tous les cas une politique inspirée de l’idéologie politiquement correcte qui se trouve mise en œuvre. Une idéologie qui s’impose à tout le monde au point qu’on la qualifie souvent de pensée unique. Elle est présente dans tous les débats, sur tous les sujets, mais, pour galvaudée qu’elle soit, elle n’en est pas moins redoutablement structurée. Elle s’affirme d’abord mondialiste dans toutes ses déclinaisons : ultralibérale, européiste, atlantiste, multilatéraliste, immigrationniste, écologiste. Mais elle est aussi déconstructiviste en ce sens qu’elle combat nos valeurs de civilisation et toutes les réalités qui font notre identité. Ce qui la conduit, au nom d’un relativisme érigé en dogme, à vouloir gommer toutes les différences entre les personnes. Portée par le Système, cette idéologie est désormais celle de la Nouvelle Gauche au pouvoir qui, avec la République en marche de M. Macron, s’affirme aujourd’hui comme le parti officiel de l’oligarchie.

Une oligarchie qui tient tous les leviers

Cette doctrine est par ailleurs en osmose avec les thèses développées par les patrons des grandes entreprises transnationales lesquels sont maintenant affranchis de toute attache nationale et de toute subordination à un quelconque État. Ce patronat, que l’on peut appeler le « Cartel de Davos », du nom de la ville où il se réunit chaque année avec ses affidés, s’efforce en effet de détruire toutes les structures identitaires qui rattachent les hommes à des communautés, afin de mieux marchandiser le monde et de pouvoir le placer à terme sous un gouvernement mondial à sa convenance.

En France, le Système est soutenu d’abord par les médias, presque tous contrôlés par les grandes sociétés proches du Cartel de Davos et dont le rôle est déterminant pour imposer les normes et les idées du politiquement correct. Non seulement ils sélectionnent les informations qui leur conviennent, n’hésitant pas à occulter celles qui les dérangent, mais ils font de l’actualité une présentation toujours subtilement orientée. Plus grave, ils n’hésitent pas à occulter, voire à diaboliser, les penseurs ou les politiques qui récusent leur ligne idéologique, créant ainsi une sorte de terreur larvée qui sidère la classe politique au point qu’elle n’ose plus sortir des limites intellectuelles qui lui sont fixées.

Plus inquiétant encore, la justice elle-même, largement acquise à cette idéologie, s’emploie à verrouiller juridiquement la vie nationale. Le Conseil constitutionnel rejette ainsi systématiquement tous les projets de loi qu’il estime non conformes. Et l’ensemble des juridictions s’emploie à encadrer l’exécutif pour qu’il ne dévie pas du politiquement correct. À cela s’ajoute la technocratie de Bruxelles dont les directives et les règlements, tous inspirés par la pensée unique, l’emportent sur les lois françaises.

Le puissant système qui verrouille ainsi la vie politique fonctionne d’autant mieux que les personnalités occupant des postes de responsabilité dans notre pays, que ce soit dans la haute administration, la justice, les médias, le monde culturel, la politique ou l’économie, sont pratiquement toutes sélectionnées en raison de leur adhésion sans réserve à la pensée unique. Et celles qui ne sont pas entièrement acquises savent qu’elles doivent se comporter comme si c’était le cas au risque de perdre leur position.

Une seule opinion possible sur tous les sujets importants

Résultat : la pensée est en effet unique et il ne peut y avoir qu’une seule opinion dicible sur la plupart des grands sujets. Il faut être pour la mondialisation et l’ultralibéralisme international. Il faut être favorable à l’Europe bruxelloise. Il faut accepter l’immigration et ne rien dire contre l’islam. Il faut approuver le mariage homosexuel, ainsi que la PMA et la GPA. Il faut refuser la sélection à l’entrée de l’université, il faut être contre le protectionnisme et rejeter tout amalgame entre l’islam et le terrorisme. Il n’est pas possible de s’interroger sur les causes du réchauffement climatique ni sur la pertinence d’une parité homme femme universelle.

La démocratie placée sous contrôle

Aussi la démocratie n’existe-t-elle plus que de façon formelle puisque les partis dit de gouvernements qui se succèdent au pouvoir, y compris bien sûr la Nouvelle Gauche de M. Macron, partagent tous les mêmes options politiquement correctes. Dès lors, les élections en France s’apparentent à celles que l’on connaît dans les pays totalitaires où les scrutins opposent de façon symbolique des candidats représentant des sensibilités différentes du parti unique au pouvoir.

Plus grave encore ce totalitarisme larvé s’en prend directement à la liberté d’expression des Français. Au nom d’une prétendue lutte contre le racisme et les discriminations, un simple citoyen peut désormais être condamné pénalement s’il tient des propos s’écartant un peu trop de la pensée unique. De même, les lois mémorielles peuvent conduire les auteurs de conceptions non conformes à subir de lourdes peines pénales.

La République dont on nous rebat pourtant les oreilles n’existe plus, car le peuple n’est plus souverain. Le Système se méfie de lui et s’efforce de l’éloigner du pouvoir. Les vrais dirigeants de notre pays ne sont plus seulement à l’Élysée ou au Palais Bourbon, ils sont aux postes-clés des médias, des juridictions, des sociétés transnationales, et de Bruxelles. Ils se retrouvent à Davos ou ailleurs, ils constituent une caste qui n’a d’ailleurs pas besoin d’être structurée pour fonctionner : tous connaissent la direction à suivre et tous s’emploient à y pousser nos compatriotes sans se préoccuper de liberté ou de démocratie.
Ils s’imposent car ils sont l’oligarchie.

Crédit photo : Antoine 49 via Flickr (recadré) cc