Rendre confiance, fierté et espoir à la nation
Parce qu’une nation n’est pas qu’une simple juxtaposition d’individus, mais une communauté qui les transcende, l’action politique ne peut pas se préoccuper seulement du sort des personnes, elle doit d’abord s’intéresser à leur destin collectif et pour cela poursuivre des objectifs ambitieux et mobilisateurs (lire sur ce sujet).
Mais pour s’atteler à de grandes ambitions nationales, les Français doivent renouer avec la fierté de ce qu’ils sont, car on ne nourrit pas d’ambition pour une réalité que l’on mésestime. Aussi nos compatriotes doivent-ils rompre avec la repentance et l’autoculpabilisation qui prévalent actuellement et remettre à l’honneur les périodes fastes et glorieuses de notre histoire (lire sur ce sujet).
De même, il n’y aura pas d’ambition collective si notre peuple reste soumis à l’idéologie des droits de l’homme qui, sous couvert de libération, organise la primauté des minorités et des intérêts particuliers sur l’intérêt général. Le politique doit donc rechercher de nouveau le bien commun pour la survie et l’épanouissement de la nation (lire sur ce sujet).
Le politique doit dans le même esprit reprendre le pas sur les forces économiques qui, avec les mécanismes du libre-échangisme mondial et le poids des grands groupes transnationaux, imposent actuellement une organisation du monde qui dessert les peuples et leurs nations (lire sur ce sujet).
Ayant retrouvé le sens du bien commun, la France, libérée de la repentance et du poids des forces économiques, devrait avoir comme ambition la création d’une Europe nouvelle. Une Europe confédérale libérée des errements bruxellois, dirigée par les seuls États et axée sur l’identité, l’indépendance, la souveraineté et la puissance du continent (lire sur ce sujet).