Notre pays connaît un processus d’islamisation qui pourrait être fatal

L’état du pays

Portés par leur dynamisme migratoire et démographique, les musulmans présents en France multiplient les revendications et les provocations dans le but de vivre sur notre sol comme en terre d’islam. Une situation inquiétante que les responsables du Système ont délibérément laissée s’installer. Aujourd’hui, ils semblent avoir baissé les bras face à l’islam quand ils ne le favorisent pas au nom du refus de la prétendue islamophobie. Résultat : notre pays subit un processus d’islamisation qui pourrait le conduire au pire.

Des revendications islamiques qui se multiplient

En quelques décennies, l’islam est en effet devenu une réalité incontournable de la société française. Une réalité qui provoque débats, polémiques et conflits, car les musulmans sont désormais engagés dans une entreprise d’implantation qui les conduit à pousser de plus en plus loin leurs exigences. Chaque année, ils en formulent de nouvelles qui reviennent ensuite de façon lancinante : port du voile, horaires spécifiques pour les femmes, sujets à éviter dans les cours d’histoire, prières de rue, construction de mosquées, repas hallal, accueil des femmes musulmanes dans les hôpitaux. Et si la société française s’oppose passivement à ces demandes, force est de constater que la ligne de résistance recule d’année en année.

L’islam porté par la vague migratoire

La pression de l’islam est en effet d’autant plus forte qu’elle découle de façon mécanique et inexorable de l’immigration massive et incontrôlée que subit notre pays. Sans immigration, il n’y aurait pas d’islam ni d’islamisme sur notre sol, comme le montre d’ailleurs la situation des pays d’Europe de l’Est qui ne connaissent ni l’une ni l’autre.

L’échec de l’assimilation et de l’intégration

Quant à l’assimilation, qui devait, selon les politiciens des années soixante-dix, faire progressivement disparaître le problème, elle n’a pas eu lieu. Pas plus d’ailleurs que n’a fonctionné l’intégration que leurs successeurs ont ensuite préconisée. L’une et l’autre sont en effet impossibles en raison de la masse des populations musulmanes aujourd’hui présentes sur notre sol. Car ce ne sont pas des individus isolés qui viennent chez nous et qui pourraient se fondre dans le peuple français, ce sont des communautés entières qui s’installent sur notre sol avec leur identité, leur culture et leur religion. Au demeurant, cette intégration n’est désormais plus possible dans certains quartiers de nos villes où l’immigration a changé la société. À quoi un immigré de Seine-Saint-Denis pourrait-il en effet s’assimiler quand la France a déjà quasiment disparu du département ?
Aussi sommes-nous confrontés à un véritable phénomène d’islamisation qui va se développer de façon spectaculaire et dramatique si des mesures drastiques ne sont pas prises pour le stopper dès maintenant.

Une population musulmane en pleine expansion

Le nombre de musulmans ne cesse en effet d’augmenter dans notre pays. Les flux de migrants sont toujours aussi puissants et la plupart des nouveaux venus sont musulmans. On estime à deux cent mille le nombre des arrivées régulières chaque année, sans compter les clandestins que l’on peut évaluer à cinquante mille par an. À cela s’ajoute la natalité propre aux populations islamiques qui est beaucoup plus élevée que celle des Français d’origine. Dès lors, tout concourt à la progression de l’islam qui est déjà la seconde religion de France. Certaines projections comme celles du Pew Research Center indiquent même qu’en 2050, ses fidèles représenteront plus de dix-sept pour cent de la population.

Des pouvoirs publics culpabilisés ou complices

Or, la pression démographique en faveur de l’islam n’est nullement compensée par une attitude ferme des pouvoirs publics. Bien au contraire, les gouvernements européens, à l’exception notable de ceux de l’Est, ont baissé les bras. Neutralisés moralement par l’auto-culpabilisation et la repentance, émasculés par l’idéologie politiquement correcte et la pensée unique, ils n’osent plus accomplir les actes courageux qui seraient à la hauteur de la situation. Certains d’entre eux, qui recherchent le vote des immigrés ou entretiennent des relations troubles avec les pétromonarchies, sont peut-être déjà complices de ce processus. On peut même se demander si l’oligarchie ne préfère pas une religion qui prêche la soumission au christianisme qui voit l’homme comme un être libre et responsable.

Le principe de laïcité impuissant

En tout cas, rien n’est fait pour arrêter ou freiner l’islamisation de notre pays. La laïcité, qui aurait pu être utilisée pour contenir l’islam, continue de servir prioritairement comme par le passé à combattre le catholicisme, en s’attaquant à ses crèches, ses cloches ou ses croix. Plus grave encore, la manière dont ce principe est interprété par le Système en fait un instrument de promotion de la religion musulmane. L’impératif de séparation des Églises et de l’État est en effet souvent présenté comme l’obligation faite aux pouvoirs publics de traiter également toutes les religions. Dès lors l’islam, présent sur notre sol depuis quelques décennies seulement, est progressivement placé sur le même plan que le christianisme qui a façonné notre nation pendant quinze siècles. Un statut très valorisant qui ne peut que servir le processus d’islamisation.

La critique de l’islam interdite

Par ailleurs, l’obsession des pouvoirs publics à éviter les « amalgames » lors des attentats islamistes notamment conduit tout le système politique et médiatique à faire la promotion de l’islam et à inviter les Français à aimer les musulmans. Une injonction qui prend par ailleurs la dimension d’une obligation car toute critique envers l’islam est désormais taxée d’islamophobie et considérée comme une incitation à la haine, c’est-à-dire comme un délit susceptible de sanctions pénales.

La menace d’un déchirement

Porté par sa dynamique propre et encouragé par la faiblesse, voire la complaisance du Système, le processus d’islamisation de la France se développe donc inexorablement. Un processus lourd de menaces car, si demain notre nation devait être partagée en deux composantes, l’une d’origine chrétienne, l’autre d’obédience islamique, elle serait exposée tôt ou tard à un grave déchirement. Il n’existe en effet aucun pays dans le monde où la coexistence entre musulmans et non musulmans ait pu s’établir pacifiquement dans la durée.
Et qui peut faire aujourd’hui le pari qu’il en irait différemment pour la France ?

6 janvier 2018

Crédit photo : Tim green via Flikr cc